Point de pratique
Affichage : le 15 juin 2021
Alexandra Ahmet, Anne Rowan-Legg, Larry Pancer; Société canadienne de pédiatrie, Groupe canadien d’endocrinologie pédiatrique, Comité de la pédiatrie communautaire
Paediatr Child Health 2021 26(4):248–254
La suppression surrénalienne, un effet secondaire potentiel du traitement aux glucocorticoïdes (y compris les corticostéroïdes inhalés), peut avoir des conséquences graves et même fatales. Au Canada, on continue de déclarer des poussées d’insuffisance corticosurrénalienne consécutives à une suppression surrénalienne chez les enfants. Avant de prescrire des glucocorticoïdes, le clinicien doit absolument connaître les symptômes de suppression surrénalienne, comprendre les facteurs de risque de cette affection et être au courant des stratégies susceptibles d’en réduire les risques.
Mots-clés : corticostéroïdes inhalés (CSI); glucocorticoïdes; insuffisance surrénalienne; suppression surrénalienne
Les glucocorticoïdes (GC), y compris les corticostéroïdes inhalés (CSI), sont essentiels au traitement de nombreuses affections pédiatriques et ont considérablement amélioré l’évolution des enfants et des adolescents au fil de leurs décennies d’utilisation [1][2]. Cependant, la suppression de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS), ou suppression surrénalienne (SS), est un effet secondaire potentiel du traitement aux GC qui peut avoir des conséquences graves et même fatales [3]-[8].
Les symptômes de SS sont souvent non spécifiques (tableau 1) et peuvent passer inaperçus jusqu’à ce qu’un stress physiologique comme une maladie, une opération ou une blessure précipite une poussée d’insuffisance corticosurrénalienne (qu’on appelle encore crise surrénalienne) [9]. De telles poussées ont également été signalées en l’absence de stress physiologique, probablement en raison de symptômes de SS non décelés [5][9]. Pour prévenir la SS symptomatique, y compris les poussées d’insuffisance corticosurrénalienne, il faut dépister les enfants à risque et leur administrer un traitement de substitution glucocorticoïde à dose physiologique, de plus fortes doses de GC en période de stress ou ces deux types de traitement à la fois [6][7][9].
Signes et symptômes évocateurs d’une suppression surrénalienne
Croissance linéaire insuffisante*
Prise de poids insuffisante
Anorexie
Nausées et vomissements
Malaises
Faiblesse ou fatigue
Céphalées
Douleurs abdominales
Myalgies ou arthralgies
Symptômes psychiatriques
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Signes de poussée d’insuffisance corticosurrénalienne (qu’on appelle encore crise surrénalienne)
Hypotension
Hypoglycémie (convulsions ou coma)
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Signes liés à une suppression surrénalienne
Traits cushingoïdes
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*Près de 50 % des enfants présentant une suppression surrénalienne symptomatique ont une croissance linéaire insuffisante (10). Une évaluation de la suppression surrénalienne s’impose chez les enfants qui prennent des glucocorticoïdes et dont la croissance linéaire est insuffisante.
Tableau adapté de la référence [11]
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Les preuves cliniques et biochimiques de SS après l’arrêt de doses thérapeutiques de GC par voie systémique sont bien décrites chez les enfants [8][11]-[14]. Dans la pratique, une exposition de plus de deux semaines est considérée comme un seuil de risque de SS importante sur le plan clinique [7][9]. De multiples courts traitements aux GC doivent également être considérés comme un facteur de risque de SS [15]. Après une exposition prolongée aux GC (p. ex., des années), la SS peut persister jusqu’à deux ans, mais elle dure moins longtemps après des expositions plus courtes. Ainsi, elle disparaît généralement au bout de quelques semaines à quelques mois après une exposition d’un mois aux GC [12][16]-[18]. De plus fortes doses de GC, une utilisation à plus long terme et le moment de leur administration (le soir au lieu du matin) représentent des risques théoriques [19][20].
Près de cent cas de poussée d’insuffisance corticosurrénalienne découlant de la prise de CSI ont été déclarés, y compris quelques décès [4][21]-[23]. La plupart ont été observés chez des enfants qui recevaient de fortes doses de CSI, soit en général une dose quotidienne d’au moins 500 mcg de propionate de fluticasone. Des cas de SS symptomatique et biochimique sont toutefois liés à toutes les formes de CSI [4][5][10][11][22]-[28]. Le risque de SS semble moins élevé avec la prise de ciclésonide, un CSI relativement récent [5][23][28]. Les enfants qui reçoivent au moins 500 mcg de propionate de fluticasone par jour ou un traitement à fortes doses de CSI, tel qu’elles sont définies dans les Lignes directrices canadiennes sur l’asthme, doivent être considérés comme à risque de SS importante sur le plan clinique.
Des traitements fréquents ou prolongés aux GC par voie systémique et, peut-être [4][5][11][28][29], la prise concomitante de corticostéroïdes par voie nasale [5] sont d’autres facteurs de risque importants d’apparition de SS chez les enfants atteints d’asthme. Même si la durée d’exposition aux CSI n’est pas un facteur de risque établi de SS, la plupart des études ont porté sur des expositions plus longues et démontré la possibilité de SS lorsque les CSI sont utilisés sur une période d’au moins trois mois [30][31]. Selon de récentes données probantes, il y aurait une susceptibilité génétique à l’apparition de SS chez les patients exposés aux CSI, mais d’autres recherches devront être réalisées pour en circonscrire le risque [32].
Il est reconnu que le traitement aux CSI, considéré comme essentiel pour l’asthme, réduit ou éradique les symptômes chroniques de l’asthme. Lorsqu’il est utilisé conformément aux lignes directrices à jour [2], il est rarement associé à une SS importante sur le plan clinique. Les lignes directrices de la Société canadienne de thoracologie de 2012 recommandent de limiter aux spécialistes de l’asthme la prérogative de prescrire de fortes doses de CSI (y compris des doses de plus de 400 mcg de fluticasone chez les enfants) [2].
L’utilisation conjointe de corticostéroïdes intranasaux et de CSI est un facteur de risque connu de SS [33], mais le risque lié à la seule utilisation de corticostéroïdes intranasaux n’est pas clairement établi [34][35].
La SS a été attestée chez des enfants qui reçoivent du budésonide sous forme de gel oral visqueux ou de la fluticasone à avaler pour traiter l’œsophagite à éosinophiles, et elle pourrait survenir lorsque ces traitements visent à soigner les maladies inflammatoires de l’intestin [10][36][37]. Quelques rares cas de SS symptomatique sont corrélés avec l’administration de GC par voie oculaire et au mésusage de puissants GC topiques, auquel cas les traits cushingoïdes constituent un indice clinique fiable [38][39]. La SS est associée à l’administration de GC par voie intra-articulaire chez les adultes [40][41].
Les inhibiteurs du CYP3A4, y compris plusieurs antirétroviraux (p. ex., le ritonavir) et certains antifongiques (p. ex., le kétoconazole) et antibiotiques (p. ex., la clarithromycine), prolongent la demi-vie biologique des GC. Ces médicaments sont responsables de plusieurs cas de SS symptomatique liés à des doses de CSI relativement faibles et prolongent la durée de la SS en cas d’exposition aux GC par voie systémique [8][11][42]-[44].
Il est démontré que la dégression des GC n’empêche pas la SS [12], et aucune publication ne porte sur l’arrêt soudain de GC après une exposition prolongée. Les doses de GC doivent être réduites ou interrompues à un rythme déterminé par l’affection sous-jacente et la nécessité de maintenir la rémission. Lorsqu’il n’est pas indiqué d’abaisser la dose pour prévenir une récidive, il faut se demander si une exposition inutile aux GC ne risque pas d’entretenir la SS [7]. Cependant, aucune démarche particulière sur l’administration de doses dégressives de GC afin de prévenir la SS n’est corroborée par des données probantes [6][45].
Lorsqu’il n’est pas nécessaire de réduire progressivement la dose de GC en raison d’une maladie sous-jacente, il est recommandé dans le présent document de tenir compte de l’exposition totale aux GC et de fixer le rythme de dégression en fonction de la durée d’exposition. Par exemple, le clinicien pourra envisager de ne pas réduire la dose si le patient y est exposé pendant moins d’un mois et d’opter pour une dégression sur une ou deux semaines s’il y est exposé de un à trois mois, sur deux à trois semaines s’il y est exposé de trois à six mois, ainsi que sur trois à quatre semaines s’il y est exposé plus de six mois [6][45].
Les enfants sont vulnérables à la SS symptomatique lorsque la dose de GC est abaissée peu à peu sous le seuil physiologique de 8 mg/m2/jour d’équivalent d’hydrocortisone [9]. Avant d’ainsi interrompre ou réduire progressivement la dose de GC, il faut envisager de mesurer le taux de cortisol au lever pour dépister la SS (voir Les tests pour déceler la suppression surrénalienne, ci-dessous). Le taux de cortisol au lever peut faire ressortir la nécessité d’administrer une dose de stress accompagnée ou non d’un traitement de substitution quotidien d’hydrocortisone à dose physiologique pour rétablir l’axe HHS avant d’arrêter le traitement de GC [7]. En cas de SS symptomatique, il faut toutefois poursuivre ce traitement au moins à la dose physiologique et demander une consultation en endocrinologie. Des symptômes de sevrage des GC peuvent également se manifester lors d’une réduction rapide des doses et imiter les symptômes de SS malgré les données biochimiques démontrant l’intégrité de l’axe HHS; dans ce cas, une diminution plus graduelle de la dose s’impose [46].
Les tests de cortisol pour déceler l’insuffisance surrénalienne, y compris la SS, représentent un défi clinique parce qu’ils ne sont pas standardisés ou que les seuils diagnostiques ne reposent pas sur des données probantes [47][48]. En règle générale, des seuils de cortisol standards sont utilisés pour diagnostiquer l’insuffisance surrénalienne, mais les cliniciens doivent savoir quel test est utilisé à leur laboratoire local. Les taux de cortisol au lever (entre 7 h et 9 h) peuvent être utiles pour évaluer l’axe HHS. Fait important, ils ne sont spécifiques pour diagnostiquer l’insuffisance surrénalienne que s’ils ne dépassent pas 100 nmol/L chez la plupart des gens ayant un cycle d’éveil et de sommeil normal et qui ont interrompu le traitement aux GC dans les 24 heures à 48 heures précédentes (48 heures pour les GC à longue durée d’action) [49][50]. Puisque la production de cortisol est régulée par le rythme circadien, un faible taux de cortisol au lever ne peut pas prédire la SS avec précision chez les nourrissons ou les enfants dont le cycle de sommeil et d’éveil n’est pas encore stabilisé. Dans ces groupes, le test de stimulation à l’adrénocorticotrophine (ACTH) est alors indiqué [51]. Une valeur de cortisol au lever de 350 nmol/L à 500 nmol/L peut être prédictive d’un axe HHS normal [50]-[52]. Sur le plan pratique, une valeur de cortisol de 275 nmol/L au lever sert de seuil de dépistage chez les patients asymptomatiques [5]. Lorsqu’elle se situe entre 100 nmol/L et 275 nmol/L, elle évoque un diagnostic de SS. Dans ce scénario, il faut envisager un traitement empirique (voir la rubrique La substitution glucocorticoïde pour traiter la suppression surrénalienne, ci-dessous) ou un test de provocation pour contribuer au diagnostic de SS.
Le test de provocation à l’ACTH synthétique (cosyntrophine) est le meilleur test disponible pour évaluer l’insuffisance surrénalienne centrale, y compris la SS. Le test de stimulation à l’ACTH est utilisé à la dose standard (250 mcg) et à faible dose (1 mcg) en pratique clinique, et une vive controverse sévit pour déterminer laquelle est préférable [51][53]. En l’absence de données claires pour corroborer la supériorité d’une dose, il est raisonnable d’utiliser l’une ou l’autre pour évaluer la SS, mais le choix du type de test pourrait être limité par l’accès à la cosyntrophine dans la localité [7][48][51][53].
Les cliniciens doivent savoir que les GC exogènes, y compris les CSI, peuvent nuire à l’évaluation de l’axe HHS et qu’on arrête donc généralement de les administrer de 24 heures à 48 heures avant de mesurer le taux de cortisol (24 heures suffisent pour les GC à courte durée d’action et les CSI, mais il faut plus longtemps pour les GC à moyenne ou longue durée d’action).
La production de cortisol augmente considérablement pendant un stress physiologique chez les personnes en bonne santé [54]. Les enfants ayant une SS démontrée ou présumée doivent recevoir des doses de stress de GC pendant une maladie grave ou critique ou avant une chirurgie lourde, afin de prévenir une poussée d’insuffisance corticosurrénalienne [13][55]-[57]. Les doses de stress sont indiquées en cas de maladie ou de blessure modérée et de chirurgie qui comporte un risque léger ou modéré de complications chez les enfants atteints d’une SS démontrée et doivent être envisagées chez tous les enfants à risque de SS (tableau 2) [7].
Les enfants atteints d’une SS symptomatique démontrée sur le plan biochimique ont besoin d’un traitement de substitution glucocorticoïde quotidien à dose physiologique [7]. Il est important d’envisager ce traitement chez les enfants à haut risque de SS qui n’ont peut-être pas de symptômes évidents, mais qui présentent des manifestations biochimiques de SS. Cette démarche demeure toutefois controversée chez les endocrinologues pédiatriques parce qu’il n’y a pas de publications pour l’appuyer ou la réfuter.
Indication
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Doses de glucocorticoïdesa,b
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Poussée d’insuffisance corticosurrénalienne, maladie grave ou blessure grave
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100 mg/m2 d’hydrocortisone (jusqu’à concurrence de 100 mg) immédiatement, par voie IV ou IM, puis 100 mg/m2/24 heures (jusqu’à concurrence de 200 mg) divisés toutes les six heures ou par perfusion continue
En cas de maladie critique, établir la dose initiale approximative immédiate d’après la surface corporelle estimative :
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Chirurgie lourde
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De 50 mg/m2 à 100 mg/m2 d’hydrocortisone par voie IV (jusqu’à concurrence de 100 mg) avant l’opération, puis 100 mg/m2/24 heures par voie IV (jusqu’à concurrence de 200 mg) divisés toutes les six heures ou par perfusion continue
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Chirurgie qui comporte un risque léger ou modéré de complications ou intervention qui exige une anesthésie générale
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50 mg/m2 d’hydrocortisone par voie IV (jusqu’à concurrence de 100 mg) avant l’intervention, puis selon l’état clinique (généralement la dose pour traiter une maladie modérée pendant un ou deux jours)
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Maladie modérée, y compris une fièvre d’au moins 38,5 oC, des vomissements, de la diarrhée, un gros rhume de cerveau accompagné de fatigue ou une blessure
Capacité de tolérer les médicaments par voie orale
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30 mg/m2/jour d’équivalent d’hydrocortisonec divisés en trois doses jusqu’à la disparition des symptômes
Si le médicament est administré plus de trois jours, l’équipe soignante doit réévaluer le patientd.
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Maladie modérée, y compris une fièvre d’au moins 38,5 oC, des vomissements, de la diarrhée, un gros rhume de cerveau accompagné de fatigue ou une blessure
Incapacité de tolérer les médicaments par voie orale
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L’hydrocortisone doit être administrée par voie parentérale.
De 30 mg/m2/jour à 50 mg/m2/jour d’hydrocortisone divisés toutes les six heures par voie IV ou toutes les huit heures par voie IM.
Demander une consultation en endocrinologie pour réévaluer la dose parentérale lorsque l’enfant est toujours incapable de tolérer les médicaments par voie orale après 24 heures d’administration parentérale.
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Maladie grave ou modérée et incapacité de tolérer les médicaments par voie orale AVANT d’arriver à la salle d’urgence
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Envisager d’enseigner l’administration d’hydrocortisone par voie IM pour tous les patients ayant une suppression surrénalienne.
Les familles qui ne peuvent pas accéder rapidement à l’urgence d’un hôpital ou qui planifient de s’éloigner considérablement de l’hôpital (p. ex., voyage par avion ou en camping) doivent apprendre à administrer l’hydrocortisone par voie IM.
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Dose physiologique quotidienne d’hydrocortisone
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8 mg/m2/jour d’hydrocortisone par jour (divisés en deux ou trois doses, y compris une dose plus élevée le matin, lorsque l’enfant est symptomatique)
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IM intramusculaire; IV intraveineuse
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a Données insuffisantes pour déterminer les doses pédiatriques. Ces recommandations reposent sur des avis d’expert et les meilleures données probantes disponibles [9][58]-[60].
b Il pourrait être nécessaire de rajuster la dose chez les enfants qui reçoivent des inducteurs du CYP3A4. Dans de tels cas, il faut demander une consultation en endocrinologie.
c Chez les enfants qui prennent un traitement actif aux GC dont les doses sont d’au moins 30 mg/m2/jour d’équivalent d’hydrocortisone (au moins 7,5 mg/m2/jour de prednisone), on peut obtenir une dose de stress en cas de maladie modérée en divisant en deux doses la posologie quotidienne de prednisone thérapeutique (c’est-à-dire que la dose thérapeutique est suffisante pour assurer une protection contre le stress). Lorsque le traitement aux GC n’est plus nécessaire, la dose de stress doit être administrée sous forme d’hydrocortisone.
d Des doses de stress fréquentes ou prolongées peuvent contribuer à la SS. Elles sont inutiles si les symptômes sont très légers, par exemple en cas d’écoulement nasal persistant.
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Adapté de la référence [7]
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Compte tenu du manque de données probantes et de la diversité des pratiques, le groupe de travail sur la suppression surrénalienne recommande les éléments suivants, selon le contexte de chaque pratique clinique :
La SS biochimique est relativement courante chez les enfants qui reçoivent un traitement aux GC, mais la SS symptomatique l’est moins. Il est possible de limiter le risque de SS symptomatique grâce à une prescription et un suivi responsables des GC, à la reconnaissance des signes et symptômes (y compris une croissance insuffisante) et à l’éventualité de dépister et de traiter les enfants à haut risque. Il est capital que les cliniciens et les familles des patients vulnérables comprennent bien la SS pour réduire les effets de cette affection iatrogène. En cas d’incertitude en matière de prise en charge, une consultation en endocrinologie s’impose. Les cliniciens et les familles ne doivent pas oublier que les GC sont essentiels pour la prise en charge de nombreuses affections pédiatriques et que le risque de SS ne doit pas en empêcher l’utilisation.
Annexe 1 : Modèle de carte format portefeuille (hydrocortisone) peut être consultée sous forme de fichier supplémentaire.
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Le comité des soins aigus et le comité de la pharmacologie et des substances dangereuses de la Société canadienne de pédiatrie ont révisé le présent document de principes, de même que le comité directeur de la section de la médecine d’urgence pédiatrique, de la section de la pédiatrie hospitalière et de la section de la santé respiratoire.
Membres du groupe de travail sur la suppression surrénalienne : Alexandra Ahmet MD, Ellen B Goldbloom MD, Céline Huot MD, Roman Jurencak MD, Harold Kim MD, Tom Kovesi MD, Preetha Krishnamoorthy MD, Ann Rowan-Legg MD, Arati Mokashi MD, Larry Pancer MD
COMITÉ DE LA PÉDIATRIE COMMUNAUTAIRE DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE
Membres : Carl Cummings MD (président sortant), Michael Hill MD, Audrey Lafontaine MD, Alisa Lipson MD, Marianne McKenna MD (représentante du conseil), Larry Pancer MD (membre sortant)
Représentant : Peter Wong MD (section de la pédiatrie communautaire)
Auteurs principaux : Alexandra Ahmet MD, Anne Rowan-Legg MD, Larry Pancer MD
Avertissement : Les recommandations du présent document de principes ne constituent pas une démarche ou un mode de traitement exclusif. Des variations tenant compte de la situation du patient peuvent se révéler pertinentes. Les adresses Internet sont à jour au moment de la publication.
Mise à jour : le 8 février 2024